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FIAT 1500

Acheter une FIAT 1500 Cabriolet

Julien Lombard le 09/11/2006

Voiture élégante, fiable et homogène, bénéficiant d'une cote peu élevée, la Fiat 1500 cabriolet mérite d'être redécouverte.

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Historique

En 1955, Fiat présente le cabriolet 1100/103 TV Trasformabile, dessiné en interne par Luigi Rapi dans un style d'inspiration américaine, comme en témoignent son pare-brise panoramique, ses pare-chocs très travaillés et son abondance de chromes.

Devenue 1200 spyder en 1957, la décapotable Fiat, dont la diffusion reste confidentielle, se démode rapidement. Pinin Farina se voit donc chargé de dessiner une nouvelle carrosserie à partir du châssis existant.

Parallèlement, un nouveau moteur 1500, destiné à la version sportive du futur cabriolet, est développé. Il s'agit d'une mécanique OSCA, dérivée de celle qui équipe le modèle de course MT4. En quête de débouchés pour sa petite firme, Ernesto Maserati (frère du fondateur de la fameuse marque au trident) a su vendre à Fiat son moteur « double arbre ».

En novembre 1958, au Salon de Turin, Pinin Farina présente sur son stand un prototype de coupé Fiat, baptisé « 1500 GT » et équipé du moteur OSCA.

En mars 1959, au Salon de Genève, est dévoilé le nouveau cabriolet Fiat 1200 (type 118 G). Identiques à celles du prototype Pinin Farina, ses lignes classiques apparaissent beaucoup plus modernes que celles de la 1200 Trasformabile. A partir de l'été 1959, une version à moteur 1500 OSCA (type 118 S) vient épauler la 1200. Notons qu'une version coupé est également commercialisée.

Fin 1960, la Fiat 1500 reçoit - en option - des freins à disque à l'avant, avant d'être rebaptisée Fiat 1500 S en juillet 1961 et de recevoir quatre freins à disque. En 1962, sa cylindrée est accrue et elle devient 1600 S (type 118 SA), version identifiable à sa prise d'air de capot décalée sur la gauche.

Début 1963, le cabriolet Fiat est restylé ; sa calandre est élargie tandis que son capot perd son bossage. La 1200 est alors remplacée par la 1500 (type 118 H), dont le 4 cylindres culbuté est emprunté à la berline à ligne « Corvair » ; également retouchée, la 1600 S (type 118 SB) garde les mêmes caractéristiques techniques générales.

En 1965, la Fiat 1500 (type 118 K) et la 1600 S reçoivent une boîte de vitesses à cinq rapports, entièrement synchronisée. L'année suivante, elles sont remplacées par la 124 spider, également dessinée par Pininfarina et promise à un grand succès commercial.

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Identification

Numéro de série : gravé à droite du tablier, à proximité de la boîte à fusibles

Plaque constructeur : apposée à droite du tablier

Numéro de moteur : entre la pompe à eau et le collecteur d'échappement.

Le cabriolet Fiat 1500 à moteur culbuté (2e série) remplace le cabriolet 1200. Il se reconnaît extérieurement à :

- sa calandre, à la fois plus large, moins haute et dépourvue de barre médiane verticale

- son capot plat

- ses pare-chocs revus, dont les butoirs, plus discrets, sont en forme de « V » à l'avant.

- son monogramme arrière

Par ailleurs, le cabriolet 1500 se distingue extérieurement de la version sportive 1600 S sur plusieurs points :

- absence de phares additionnels (feux de route) sur la calandre

- déflecteurs fixes

- roues plus petites (14‘' au lieu de 15) aux enjoliveurs différents

- couvercle de la malle arrière dépourvu de poignée.

- monogramme arrière

En 1965, est présentée la 3e série de cabriolets type 118, qui se reconnaît à son nouvel insigne de calandre ; alors apanage des modèles sportifs de Fiat, cet écusson est de forme circulaire et entouré d'une couronne de lauriers.

Groupe motopropulseur

Le moteur de la Fiat 1500 cabriolet des 2e et 3e séries est un classique quatre cylindre en ligne culbuté, emprunté à la berline 1300-1500 à ligne « Corvair » de 1961 ; le vilebrequin repose sur trois paliers, le bloc est en fonte et la culasse en alliage léger. Directement dérivé du six cylindres des 1800-2100 (puis 2300), ce moteur possède les mêmes chambres de combustion de forme « polysphérique ».

La cylindrée est de 1481 cm3 (77 x 79,5 mm) et l'alimentation assurée par un carburateur inversé double-corps compound, de marque Weber et de type 28/36 DCD 19 puis 28/36 DCHD 4 à partir de 1965. La puissance est de 80 chevaux SAE à 5200 t/m (83 chevaux SAE à 5400 t/m à partir de 1965). Le couple est de 10,8 mkg SAE à 3200 t/m (12,3 mkg à 3200 t/m, à partir de 1965). La vitesse de pointe atteint 160 km/h.

Si cette mécanique Fiat ne possède pas la « noblesse » du double-arbre OSCA, fabriqué sous licence par Fiat, elle affiche néanmoins un rendement élevé pour un moteur de grande série de l'époque, grâce notamment à sa tubulure d'échappement bien étudiée. A l'usage, ce groupe se montre très fiable, même s'il consomme un peu d'huile (0,5 litre à 1 litre pour 1000 km). Ce moteur aura une longue carrière et on le retrouvera ultérieurement, notamment sous le capot de certaines Fiat produites en Pologne : 125 P, FSO Polonez, etc.

Jusqu'en 1965, la boîte de vitesses est à quatre rapports et elle possède toujours une 1ère non synchronisée (bien que la berline 1500 bénéficie, quant à elle, d'une boîte entièrement synchronisée), anachronisme alors critiqué par la presse spécialisée. Le cabriolet de 3e série reçoit une boîte à cinq rapports entièrement synchronisée, qu'on retrouvera sur différents modèles Fiat, notamment la 124 Sport. Notons que le montage de cette nouvelle boîte s'accompagne d'une modification de la démultiplication finale, le rapport de pont étant désormais plus « long » (10/41 au lieu de 10/43).

Suspensions, trains roulants

La suspension de la Fiat 1500 est très conventionnelle. A l'avant, les roues sont indépendantes avec triangles superposés de longueur inégale, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques coaxiaux et barre anti-roulis. A l'arrière, on trouve un essieu rigide, avec des ressorts à lames semi-elliptiques, des amortisseurs télescopiques et une barre anti-roulis.

Notons qu'avec le temps, les ressorts à lames du pont arrière ont parfois tendance à s'affaisser.

Structure, carrosserie, châssis

La Fiat 1500 cabriolet possède une carrosserie monocoque autoportante.

Le style, signé Pinin Farina, est d'un grand classicisme. Il annonce nettement celui de la Ferrari 250 GTE et, plus encore, celui de la Peugeot 404 cabriolet, la Fiat 1500 faisant vraiment figure de 404 à échelle réduite. A défaut d'être franchement originale, la carrosserie de la Fiat apparaît parfaitement proportionnée et d'une élégance incontestable.

Au printemps 1963, la face avant est habilement modernisée, avec le montage d'une calandre à la fois plus basse et plus large.

La capote apparaît particulièrement facile à manier, les manœuvres de capotage/décapotage s'effectuant très rapidement. Par ailleurs, l'étanchéité de la capote d'origine donne satisfaction. Cependant, compte tenu de l'âge de la voiture, beaucoup d'exemplaires ne possèdent pas leur capote d'origine, la qualité variant en fonction des fournisseurs. Notons qu'il existe un (rare) couvre-capote, qui bénéficie à l'élégance de la voiture quand elle est décapotée. Durant toute la carrière de la Fiat type 118, un hard-top, proposé en plusieurs teintes, assorties ou non à la carrosserie, a été disponible en option ; il est assez facile à monter/démonter, même s'il est préférable d'être à deux pour effectuer ces opérations.

Signalons qu'a côté du cabriolet, une version coupé, à la carrosserie identique mais à la diffusion beaucoup plus confidentielle, a également été produite.

Comme les voitures contemporaines, notamment italiennes, la Fiat type 118 peut être affectée par la corrosion, même si la situation dépend beaucoup de la façon dont elle a été utilisée. Le cas échéant, la rouille s'attaque en particulier aux bas de caisse, bas de portes, à la malle arrière (et notamment à son couvercle) ainsi qu'au plancher avant. De façon générale, il semble toutefois que la Fiat 1500 cabriolet soit moins touchée par la rouille que les modèles postérieurs.

Freinage, direction, pneus

Le freinage du cabriolet Fiat 1500 est à disques à l'avant et tambours à l'arrière ; si le cabriolet 1200 devait se contenter de quatre tambours, la 1600 S a droit, a contrario, à quatre disques. Un servo-frein à dépression est monté en cours de 2e série (à partir du Salon de Turin de novembre 1963).

Les jantes en acier ajourées ont un diamètre de 14 pouces (15 pouces sur la 1600 S) et une largeur de 3,5 pouces (4,5 pouces sur la 1600 S). Les pneumatiques sont de dimensions 145 x 14.

La direction est à vis globique et galet. Les points de graissage sont supprimés en 1963, grâce au montage de nouveaux joints. Notons que le boîtier a tendance à prendre du jeu avec le temps.

Intérieur, finitions

Le tableau de bord en tôle peinte couleur carrosserie de la Fiat 1500 à moteur culbuté reste très semblable à celui de la Fiat 1200. Cependant, il comporte une platine chromée (noir mat sur la 1200) et bénéficie d'une montre (apparue sur les premières 1600 S en 1962) ; par ailleurs, la serrure de contact est replacée sous la colonne de direction – qui comporte désormais un dispositif antivol - et les témoins lumineux à gauche de la planche de bord. Cette dernière possède maintenant une partie supérieure capitonnée. Les sièges, revêtus de skaï, sont d'un dessin nouveau.

Notons que la Fiat 1600 S a droit à une présentation plus flatteuse, avec une planche de bord revêtue de (faux) bois, un volant Nardi en bois à branches ajourées (au lieu du volant en bakélite de la 1500), un repose-pied et une instrumentation plus complète, qui comprend un compte-tours.

En 1965 (pour la 3e série), l'intérieur des 1500 et 1600 S est légèrement modifié : la position de conduite est améliorée, grâce au montage d'une colonne de direction en trois parties et la finition des contre-portes est revue. Notons enfin que la position du levier de vitesses est modifiée.

Stricte deux-places, la Fiat 1500 cabriolet possède un espace aménagé derrière les sièges qui peut compléter, le cas échéant, la malle arrière, dont la contenance est déjà honorable.

De façon générale, l'intérieur de la Fiat 1500 semble plutôt bien résister au temps.

Prise en main

Si elle rappelle fortement, surtout vue de profil ou de l'arrière, la Peugeot 404 cabriolet, la Fiat 1500 cabriolet n'en est pas moins d'une élégance remarquable, avec sa ligne à la fois sobre et équilibrée. Notre modèle d'essai, sorti en 1966, possède la calandre élargie des 2e et 3e séries, qui modernise et affine son apparence.

A l'intérieur, l'ambiance très… italienne est vraiment plaisante et évoque celle de l'Alfa Romeo Giulietta spider, sa glorieuse inspiratrice milanaise. La planche de bord est en métal peint couleur carrosserie ; elle est rehaussée par une platine en inox du plus bel effet, tandis que le passager dispose d'une poignée de maintien fixée devant lui. L'instrumentation est plutôt réduite et ne comporte ni compte-tours (même si le tachymètre est équipé de repères indiquant la vitesse maximale sur chaque rapport), ni manomètre de pression d'huile. Les sièges en cuir rouge de « notre » voiture apportent une touche de chaleur supplémentaire ; ils sont séparés par un accoudoir central qui fait également office de boîte à gants.

Au volant, la position de conduite n'appelle pas de critique particulière pour une voiture de cette génération ; même si l'on est assis très bas, on est confortablement installé, le long levier de vitesses incliné tombant bien en main.

En dépit de sa puissance limitée, la Fiat 1500 cabriolet s'insère avec aisance dans la circulation actuelle. Très civilisé, le moteur fait montre d'une souplesse appréciable, permettant de rouler sur un filet de gaz, en particulier en ville ; a contrario, il accepte volontiers de monter dans les tours, émettant une sonorité suggestive lors de l'ouverture du 2e corps du carburateur compound… Le moteur est bien secondé par la boîte de vitesses dont le maniement est un régal ; la 1ère synchronisée et la présence d'un 5e rapport contribuent largement à l'agrément de conduite.

Agile et maniable, la Fiat 1500 se montre très à l'aise sur les petites routes sinueuses. A un rythme raisonnable, sa tenue de route se montre sans surprise, malgré le caractère très conventionnel de son architecture et l'étroitesse de ses pneus. Bien entendu, sur route glissante ou revêtement dégradé, la circonspection s'impose… Notons enfin que le freinage, muni d'une assistance et équipé de disques à l'avant, se montre à la hauteur.

Cote et budget d'entretien

En très bon état, une Fiat 1500 cabriolet se négocie environ 9800 euros (pour mémoire, la cote est de 12 500 euros pour la 1500 S et de 13 500 euros pour la 1600 S).

L'entretien courant suppose une vidange du moteur (avec nettoyage du filtre à huile centrifuge et changement du filtre supplémentaire en dérivation) tous les 5000 km ou chaque année. Le réglage de l'allumage et de la carburation se fait tous les 10 000 km ou une fois par an.

La vidange de la boîte et du pont s'effectue tous les 20 000 km ou tous les deux ans.

Enfin, il faut changer les liquides de refroidissement et de frein tous les deux ans.

Pour ce qui est de la mécanique, la disponibilité des pièces est bonne, même si certains éléments, comme l'assistance de freins Girling, sont difficiles à trouver. Les prix, variables, sont souvent modérés ; à titre d'exemple, on trouve un commodo à 71 euros, un disque d'embrayage à 66 euros, des balais d'essuie-glaces à 12 ou 14 euros ou encore une paire de feux arrière à 87 euros (tarifs en vigueur chez Autostoria et Theo van den Berg). Signalons qu'il est même possible de faire l'acquisition d'un moteur 1500 culbuté refait à neuf.

En revanche, la plupart des pièces spécifiques sont rares, notamment en matière de carrosserie, et les prix s'en ressentent : un pare-chocs avant (sans les butoirs, facturés 90 euros l'unité) d'occasion rechromé est ainsi facturé 675 euros. Dans tous les cas, l'acquisition d'une épave servant de réservoir de pièces détachées peut se révéler tout à fait judicieuse.

Notons enfin que certains éléments comme le pare-brise, les monogrammes ou la capote peuvent se trouver sans trop de difficulté, même si cette dernière, fabriquée sur mesure, sera affichée à un tarif forcément assez élevé.

Carnet d'adresses

Les clubs

Squadra Fiat 118

Le Chadelbos

19150 Marc la Tour

Tél : 05 55 20 88 74

[email protected]

Club Fiat de France

Secrétariat général

1, rue de la Bréanderie

37250 Montbazon

Tél/Fax : 02 47 65 96 32

[email protected]

Racing Amicale Fiat Anciennes

37, rue de l'Allet

77650 Savins

Tél : 01 60 58 15 54

Fax : 01 43 85 08 58

Pièces détachées

Autostoria

62, rue Marengo

42000 Saint-Etienne

Tél : 04 77 91 16 03

Fax : 04 77 91 16 04

www.autostoria.fr

Theo van den Berg (spécialiste néerlandais de la Fiat type 118)

http://www.fiatoscaspecialparts.nl

[email protected]

Martin Willems

Rademakerstraat 3

7881 JX Emmer-Compascuum

Pays-Bas

Tél : 00 31 (0) 591 35 22 12

Fax : 00 31 (0) 591 35 25 30

http://www.martinwillems.nl

[email protected]

Autocostruzioni Allais Sergio

Via Vittorio Emmanuele, 258

10094 Giaveno (Torino)

Italie

Tél : 00 39 (0)11 9376401

http://www.sergioallais.com

[email protected]

Note au lecteur : ce guide ayant été publié le 09/11/2006, les prix indiqués pour les pièces et la côte des véhicules risquent de ne plus refléter l'état actuel du marché.

À retenir

Voiture aujourd'hui oubliée, la Fiat 1500 cabriolet à moteur culbuté (1963-66) mérite d'être redécouverte. Sa ligne élégante signée Pininfarina, la fiabilité de sa mécanique, sa tenue de route honorable, son freinage efficace et son excellente boîte de vitesses (surtout la boîte 5, disponible à partir de 1965) représentent autant d'atouts. La Fiat 1500 est une voiture très utilisable et il est à noter que ses propriétaires n'hésitent pas à parcourir des distances importantes à son volant. Certes, la carrosserie n'est pas à l'abri de la rouille, les pièces spécifiques sont difficiles à trouver, tandis que le moteur Fiat ne possède pas la fougue du « double arbre » OSCA (même s'il se montre a contrario incomparablement plus souple et polyvalent). Il reste que ce cabriolet est très séduisant et homogène et qu'il bénéficie à l'heure actuelle d'une cote très raisonnable.
points fortsLigne élégante, ambiance suggestive, bonne tenue de route, bon freinage, fiabilité mécanique, excellente boîte de vitesses à cinq rapports (à partir de 1965), cote abordable.
points faiblesPièces spécifiques souvent très difficiles à trouver, notamment en matière de carrosserie, corrosion, mécanique de grande série, équipement plutôt limité.

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Avis des propriétaires

Commentaires

avatar de Brumiflo
Brumiflo a dit le 31-08-2018 à 20:38
Pourriez vous actualiser les prix (cotr) ?
avatar de RDV
RDV a dit le 14-03-2015 à 17:44
Je cherche un pont arrière pour un cabriolet Fiat Osca 1500 S
avatar de seppy68
seppy68 a dit le 24-02-2015 à 09:53
bonjour baptou je suis a la recherche d'un barillet pour ma serrure de coffre pour ma fiat 1200 cabriolet de 1963,cordialement daniel
avatar de lazz61
lazz61 a dit le 11-01-2015 à 21:26
Bonjour baptou, je suis à la recherche d'un parebrise complet pour ma fiat 1200 ou 1500 cabriolet même caisse plus autre pieces merci. Franco
avatar de DARLMAT
DARLMAT a dit le 07-05-2014 à 17:39
Bonjour, est ce que quelqu'un peut me renseigner. Je cherche la puissance du moteur de la Fiat 1200 S (118G) ainsi que la vitesse de pointe de ce véhicule. Réponse urgente souhaitée merci d'avance.