Le marché de l’autopartage se structure

L’autopartage, aussi appelé car-sharing, connaît une progression étonnante. À l’heure où les grandes villes veulent faire sortir les voitures thermiques des villes, le phénomène de l’autopartage séduit autant les utilisateurs que les municipalités. Si bien que l’offre se diversifie tout en s’adaptant aux besoins du plus grand nombre.

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La simplicité du système

Pascal Rops le 26/02/2020

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Mais pour que le système fonctionne, il faut qu’il soit aussi pratique à l’usage. Et l’on peut dire que le pari est réussi. En effet, les voitures proposées par les différents prestataires sont accessibles, puisque stationnées à des endroits clés dans les villes. Pour en prendre le volant, il suffit de se rendre à une borne sur l’un des parkings d’autopartage, sur le site ou l’application, de réserver son véhicule et de le louer pour quelques euros par mois. Mais avant de vous jeter sur la première voiture venue, [bold]sachez qu’il existe deux types d’autopartage[/bold]. Le premier est certainement le plus souple, puisqu’il permet de réaliser le trajet que l’on souhaite en prenant le volant du véhicule à un point A et de la déposer à un point B. Le second moins souple, répond toutefois à un autre usage, celui de l’aller et retour.

C’est ce que l’on appelle le service en boucle.

Bien sûr, en fonction du type de solution choisie, les prix varient. Mais les tarifs évoluent également en fonction des villes, du type de véhicule, de leur puissance ou encore de la fréquence à laquelle vous utilisez le service, puisque dans ce dernier cas, des tarifs dégressifs sont appliqués.

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