Le marché de l’autopartage se structure

L’autopartage, aussi appelé car-sharing, connaît une progression étonnante. À l’heure où les grandes villes veulent faire sortir les voitures thermiques des villes, le phénomène de l’autopartage séduit autant les utilisateurs que les municipalités. Si bien que l’offre se diversifie tout en s’adaptant aux besoins du plus grand nombre.

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L’autopartage en milieu rural

Pascal Rops le 26/02/2020

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Si jusqu’à présent les offres d’autopartage se focalisaient sur les grandes villes (Paris, Bordeaux, Lyon, etc.), elles ont désormais tendance à prendre les routes des campagnes afin de répondre à une demande de plus en plus forte. Parmi elles, citons Citiz qui regroupe aujourd’hui 12 opérateurs locaux d’autopartage indépendants. Le service est accessible dans 100 villes de France (Angers, Dijon, Lille, Arras, Tours, Poitiers... et dans les régions de la Drôme, l’Isère, la Loire, la Savoie, la Haute-Savoie…) et avec pour particularité de proposer des véhicules accessibles dans une soixantaine de gares SNCF. À cela s’ajoutent quelques initiatives locales qui offrent des solutions pour pallier le manque de transports en commun ou pour leur offrir une solution plus abordable et plus vertueuse que l’achat d’un véhicule. Par ailleurs, les collectivités ont un rôle à jouer dans cette volonté de démocratiser l’autopartage, notamment en matière d’aménagement de l’espace public. La création d’un réseau de stations plus nombreuses fait partie de ces développements tout comme la communication afin d’éduquer les futurs utilisateurs sur les atouts de l’autopartage.

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