En villes, quelles alternatives à la voiture particulière ?

Désormais indésirable dans la plupart des métropoles, la voiture cède, peu à peu, la place à de nouvelles formes de mobilité. Mais toutes ne se révèlent pas aussi pertinentes et pratiques.

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Une idée qui ne date pas d’hier

Cédric Morançais le 21/01/2019

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D.R.

Proposer des alternatives au véhicule individuel fait depuis très longtemps partie des préoccupations des grandes villes. Bien avant, même, que n’apparaisse la voiture. La forme première, et celle qui restera longtemps la seule, de cette option, ce sont les transports en commun. En France, et plus précisément à Paris, ils apparaissent en 1662, sous le règne de Louis XIV, d’après une idée de Blaise Pascal. A l’époque, l’expérience fait long feu puisque les carrosses qui remplissent alors cet office disparaissent dès 1677. Aujourd’hui, personne n’imaginerait remettre en cause l’existence des transports en commun dans les villes, qu’elles soient grandes ou petites. Au cours du XXème siècle, ceux-ci ont même pris diverses formes : autobus, métro, tramway (qui après avoir été abandonné par presque toutes les agglomérations après la seconde guerre mondiale fait un retour en force depuis un quart de siècle)...

Si ces réseaux ne cessent de se développer, ils n’ont toutefois pas mis un coup d’arrêt à l’utilisation de la voiture en ville. Insécurité, saleté mais, surtout, incommodité lorsque l’on a des enfants en bas-âge ou lorsqu’il s’agit de faire les courses sont les principaux reproches fait aux irréductibles de l’auto. Pourtant, depuis quelques années, de nouvelles alternatives ont fait leur apparition et elles pourraient bien dissuader les derniers automobilistes urbains de ne plus utiliser leur voiture.

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