Bien assurer son auto

publireportage le 01/02/2024

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Quel est le meilleur contrat d'assurance automobile ? A cette question, il existe autant de réponses que d'automobilistes. Mais trouver la police la plus adaptée à son cas n'est pas aussi compliqué qu'il n'y parait au premier abord. Il suffit de connaître les principaux rouages de ces contrats pour faire le meilleur choix.

Choisir son contrat d'assurance automobile ne se fait pas au hasard. Si l'aspect financier est fondamental, il ne doit pas être l'unique critère de choix. En effet, on n'assure pas un véhicule âgé de plusieurs années et dont la valeur n'excède pas quelques milliers d'euros de la même façon qu'une automobile neuve et haut de gamme. Afin de prendre la bonne décision, il est donc indispensable de se pencher sur les différentes possibilités qu'offrent les compagnies et mutuelles d'assurance.

La principale différence qui existe sur ces contrats tient en deux appellations : tiers et tous-risques. Du point de vue de la législation, seul le premier type de police est obligatoire. Son appellation officielle est « garantie responsabilité civile ». Comme ce terme le laisse entendre, un tel contrat couvre les dégâts causés par une automobile à un tiers, qu'il s'agisse d'un passager de l'auto, d'un piéton, mais également d'un autre conducteur et de son véhicule ou encore d'un bâtiment.

De son côté, la « tous-risques » couvre, en complément des dommages déjà pris en charge par le « tiers », l'ensemble de ceux subis par le véhicule de l'assuré, quel que soit le type d'accident et sa responsabilité en tant que conducteur. Dans le cas où la valeur du véhicule est encore conséquente, c'est naturellement cette option qu'il faudra privilégier car elle est la seule qui fonctionne en cas d'accident totalement responsable.

Les possibilités offertes par les assureurs ne se limitent toutefois pas à ces deux contrats types. En effet, chacun d'entre eux proposent de nombreuses possibilités pour personnaliser son contrat. Parmi les plus courantes, on trouve ce qui est le plus souvent appelé « tiers étendu ». On pourrait résumer ce type de contrat comme un juste milieu entre le tiers et le tous-risques. Selon les compagnies, des garanties telles que le bris de glaces, l'incendie, les catastrophes naturelles ou encore les accessoires peuvent ainsi y être inclus.

Des services toujours plus nombreux

De la même façon, il est possible de compléter un contrat tous-risques. C'est la force des grands noms de l'assurance auto comme Groupama. L'une des options les plus courues en la matière est l'assistance 0 km. Elle permet, en cas de panne ou d'accident, de faire rapatrier votre voiture chez un concessionnaire ou un garage agréé sans que cela ne vous coûte un euro. Elle peut également être couplé à une prestation « véhicule de remplacement », ce qui vous garantit de ne pas vous retrouver sans moyen de locomotion en cas de problème.

L'une des autres garanties complémentaires les plus souvent souscrites par les automobilistes est celle couvrant le contenu du véhicule. Grâce à elle, les équipements et accessoires non livrés d'origine, tels qu'un attelage de remorque ou des jantes en alliage spécifiques, ou encore les objets transportés (bagages...) sont remboursés en cas de sinistre ou de vol.

Par ailleurs, les options permettant de majorer le remboursement du véhicule si celui-ci est déclaré irréparable ou s'il n'est pas retrouvé ont également la côte. Selon les cas, ils peuvent vous garantir que votre véhicule sera remboursé à sa valeur d'achat, le plus souvent en tenant compte des surcoûts tels que la carte grise, durant une, deux et jusqu'à cinq années. Moins coûteux, il est également possible de préférer une surcote, allant de 10 à 20 % suivant les assureurs, de la valeur à dire d'expert.

Enfin, il est également possible de couvrir directement et personnellement le conducteur du véhicule. En effet, si les dommages aux passagers sont inclus dès la garantie responsabilité civile, ce n'est pas le cas de ceux que pourrait subir celui qui se trouve derrière le volant. En choisissant une telle option, il est ainsi possible à ce dernier de toucher une indemnisation de plusieurs centaines, voire plusieurs millions, d'euros en cas de blessures, qu'elles entrainent, ou pas, un handicap partiel ou total, permanent ou provisoire. Par extension, ce versement se fait alors à ses ayants-droits en cas de décès.

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