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ALFA ROMEO GIULIA

Acheter une ALFA ROMEO Giulia Spider

Julien Lombard le 07/07/2006

Dotée d'une ligne sculpturale signée Pinin Farina, l'Alfa Romeo Giulia spider est également une voiture homogène et convaincante.

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Historique

Après la Seconde Guerre mondiale, Alfa Romeo reprend la construction à l'unité des très coûteuses 6C 2500. Avec le lancement de la 1900, en 1950, puis de la Giulietta, en 1954, commence une nouvelle période, marquée par une démocratisation relative des modèles et une forte croissance industrielle.

En dépit de sa cylindrée réduite (1300 cm3), l'Alfa Romeo Giulietta continue à bénéficier d'une technologie avancée ; elle est notamment équipée d'un moteur à double arbre à cames en tête, entièrement en alliage léger.

Etudiée à partir de 1952 sous le nom de code 750, l' Alfa Romeo Giulietta est d'abord lancée en version coupé Sprint, en avril 1954. Inhabituelle, la présentation du coupé avant la berline s'explique par le retard pris dans la mise au point de cette dernière. La Giulietta Sprint, dont le design particulièrement réussi est signé Bertone, rencontre immédiatement un accueil très favorable.

L'année suivante sont dévoilées successivement la berline Giulietta (avril 1955), puis le spider (septembre), lancé à l'initiative de l'importateur new-yorkais Max Hoffman, qui se fait fort de le vendre à la clientèle américaine, toujours intéressée par ce type de véhicule.

Bertone et Pinin Farina ont tous les deux présenté leur version du spider. C'est le projet de Farina qui a été retenu : en raison de ses formes particulières, le premier prototype Bertone aurait été coûteux à fabriquer ; surtout, la maison Bertone se trouve déjà très occupée par la fabrication des coques de la Giulietta Sprint.

Dévoilé - en version quasi définitive - au Salon de Paris 1955, l'Alfa Romeo Giulietta spider (type 750 D) bénéficie, comme le coupé Sprint, d'une carrosserie particulièrement élégante. A côté du modèle normal, est bientôt présentée une version à la mécanique plus affûtée, baptisée « Veloce ». En 1959, l'empattement du spider est rallongé et sa mécanique modifiée (2e série, type 101.03).

Légèrement remaniée en 1961, la Giulietta cède la place l'année suivante à la Giulia spider (type 101.23), qui est en fait une Giulietta rebaptisée, équipée de la mécanique de la nouvelle berline Giulia TI (moteur de 1,6 litres et boîte de vitesses à cinq rapports). Décliné lui aussi en version Veloce, à partir de 1964, l'Alfa Romeo Giulia spider sera produit jusqu'en 1965. L'année suivante, le spider Duetto prend la relève.

ALFA ROMEO Giulia Spider ALFA ROMEO Giulia Spider

Identification

Giulia spider

Type : 101.23

Numéros de châssis : 372001 à 379999

Giulia spider conduite à droite

Type : 101.19

Numéros de châssis : 383001 à 383404

Giulia spider Veloce

Type : 101.18

Numéros de châssis : 390001 à 391092

Extérieurement presque identique à la Giulietta, l' Alfa Romeo Giulia spider se reconnaît à :

- sa prise d'air sur le capot

- son monogramme arrière « 1600 » (ou « 1600 Veloce » pour la version Veloce)

- ses feux arrière agrandis, intégrant les catadioptres (ils sont en fait apparus sur les Giulietta de 3e série)

Groupe motopropulseur

Le moteur de l'Alfa Romeo Giulia spider est le fameux quatre cylindres « double arbre », apparu initialement sur la Giulietta, en 1954 ; ce moteur bien né va se retrouver quatre décennies durant sous le capot des Alfa Romeo.

Par rapport à la 1900, dont le bloc est en fonte, la Giulietta innove avec son moteur entièrement en alliage léger, qui comporte des chemises amovibles en fonte. Sa cylindrée est de 1290 cm3 (74 x 75 mm).

En 1959, l'Alfa Romeo Giulietta spider reçoit un moteur modifié, plus puissant (80 chevaux au lieu de 65 ; 90 chevaux en version Veloce) ainsi qu'une nouvelle boîte de vitesses, équipée de synchros Porsche, qui remplacent avantageusement les Borg-Warner précédemment utilisés.

Sur la l'Alfa Romeo Giulia, la cylindrée passe à 1570 cm3, par augmentation simultanée de l'alésage et de la course (78 x 82 mm). Alimenté par un carburateur double corps de type Solex 32 PAIA 5, le moteur du spider Giulia, identique à celui qui équipe la berline Giulia TI, développe 92 chevaux DIN à 6200 tours/min (couple maximal : 15 mkg à 3700 tours/min), ce qui autorise une vitesse de pointe de 172 km/h. Le moteur de la Veloce, plus pointu, bénéficie, quant à lui, d'une alimentation par deux carburateurs Weber DCOE 2 ; fort de ses 112 chevaux DIN à 6500 tours/min (couple maximal : 13,5 mkg à 4200 tours/min), il permet au cabriolet Alfa d'atteindre une vitesse de pointe de 182 km/h. Le spider Giulia se distingue également de la Giulietta par sa boîte de vitesses à cinq rapports synchronisés, qui représente une vraie rareté à l'époque, a fortiori sur une voiture de cylindrée moyenne.

Très solide, le moteur du spider peut atteindre 200 000 km, moyennant un entretien suivi, en vérifiant régulièrement le niveau d'huile et en veillant à bien faire chauffer la mécanique (environ 20 minutes) avant de monter dans les tours. Notons que l'unique carburateur Solex des modèles standard a tendance à mal supporter le poids des années.

La boîte de vitesses est robuste, même si l'on note une certaine fragilité du synchro de 2nde. La pratique du double débrayage permet de ménager les synchros.

Suspensions, trains roulants

La suspension avant est à roues indépendantes avec triangles superposés de longueur inégale, ressorts hélicoïdaux, amortisseurs télescopiques coaxiaux et barre anti-roulis. A l'arrière, on trouve un essieu rigide, avec, là encore, des ressorts hélicoïdaux et des amortisseurs télescopiques coaxiaux ; l'essieu est soigneusement guidé, à la fois par des barres de réactions longitudinales et par un triangle central. D'autre part, les débattements sont limités par un système constitué de sangles et de tampons en caoutchouc.

La suspension de l'Alfa Romeo Giulia est souple, ce qui se traduit notamment par un roulis important mais ne nuit pas à la tenue de route.

Structure, carrosserie, châssis

Comme la 1900, l'Alfa Romeo Giulietta / Giulia possède une carrosserie monocoque autoporteuse.

Par rapport au prototype présenté par Pinin Farina, l'aspect du spider Alfa Romeo Giulietta définitif n'évolue guère ; il perd cependant son pare-brise panoramique - gimmick d'inspiration américaine, alors très en vogue - et ses vitres coulissantes amovibles. Par ailleurs, les butoirs de pare-chocs en forme d'obus des modèles de pré-série ne seront pas retenus.

Avec sa ligne particulièrement harmonieuse, le spider Alfa Romeo Giulietta peut être considéré comme un véritable chef d'œuvre du design. Cependant, sa ressemblance avec la Lancia Aurelia B 24, également dessinée par Pinin Farina, lui vaudra d'être surnommé « l'Aurelia du pauvre » par les mauvaises langues… Durant sa longue carrière, le spider ne va faire l'objet que de retouches esthétiques mineures, sa ligne gardant sa pureté originelle.

Présenté début 1959, le spider Alfa Romeo Giulietta de 2e série, dont l'empattement est rallongé de 5 cm, est reconnaissable notamment à ses déflecteurs et à sa capote revue ; quelques mois plus tard, ses feux sont modifiés (feux arrière différents, apparition de catadioptres, de répétiteurs de clignotants sur les ailes avant, etc.). En septembre 1961, la Giulietta (3e série) reçoit des gros feux arrière intégrant les catadioptres et une capote à nouveau escamotable. Enfin, la Giulia spider, présentée en 1962, se reconnaît à sa prise d'air de capot, agrémentée d'un jonc chromé, ainsi qu'à son monogramme apposé sur le coffre arrière (« 1600 » ou « 1600 Veloce »).

A la différence de celle des modèles postérieurs (Duetto et descendants), la capote du spider Alfa Romeo Giulia réclame une certaine dextérité pour effectuer - à l'arrêt, exclusivement - les opérations de capotage/décapotage ; cependant, avec l'habitude, 5 à 10 minutes suffisent. Notons que tout au long de la carrière de la Giulia/Giulietta spider, un hard-top a été disponible en option.

Le teintier de l'Alfa Romeo Giulia spider comporte six couleurs : blanc, rouge, bleu moyen, bleu ciel (Céleste), noir, gris graphite.

La carrosserie du spider Giulia peut être atteinte par la corrosion, même si les tôles sont assurément de meilleure qualité que celles qui ont été utilisées sur les modèles postérieurs. La rouille affecte principalement les bas de caisse, les planchers, les supports de cric et le couvercle de la malle arrière.

Freinage, direction, pneus

Comme les Giulietta, les premières Alfa Romeo Giulia spider sont équipées de freins à tambours à l'avant et à l'arrière (notons que ces derniers comportent désormais trois mâchoires à l'avant). Les freins à disques vont être montés en série à partir de 1964. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les disques ne sont pas aussi efficaces que les excellents tambours montés précédemment ; en revanche, ils sont plus faciles à régler. Et avec des tambours mal réglés, la Giulia a tendance à tirer à gauche ou à droite…

L'Alfa Romeo Giulia spider est équipée de roues 15 pouces de diamètre et de 4,5 pouces de large, chaussées de pneumatiques 155 x 15.

La direction est à vis globique et galet (ZF-Gemmer).

Intérieur, finitions

L'originale planche de bord du prototype Pinin Farina, dont l'instrumentation forme un trèfle, ne sera pas retenue sur le modèle de série. Très classique d'aspect, le tableau de bord de l' Alfa Romeo Giulietta spider est en tôle peinte couleur carrosserie ; sur la 1ère série, la boîte à gants est dépourvue de couvercle.

Les sièges sont en skaï – de couleur rouge, noir, beige ou gris, suivant la couleur de la carrosserie. Le volant bicolore noir/ivoire est équipé d'un « cerclo » avertisseur. Notons que les tous premiers exemplaires sont équipés d'un levier de vitesses au volant, bientôt remplacé par un levier au plancher.

Sur l' Alfa Romeo Giulietta spider de 2e série, la boîte à gants reçoit un couvercle muni d'une serrure. Par ailleurs, à l'instar du siège conducteur, le siège passager est désormais réglable.

Sur la Giulietta de 3e série, le dessus de la planche est désormais revêtu de skaï, le rétroviseur intérieur dispose d'une position anti-éblouissante tandis qu'un cendrier fait son apparition sur le tunnel de transmission, accompagné d'un allume-cigare au tableau de bord. Enfin, le cache de la radio est désormais entièrement noir.

L'Alfa Romeo Giulia conserve le même agencement intérieur que l'Alfa Romeo Giulietta, même si son volant en bakélite, muni de trois branches ajourées en aluminium, est inédit et sensiblement plus moderne d'aspect. Les commandes de chauffage-ventilation sont également différentes. Enfin, à partir de 1963 sont montés de nouveaux cadrans à fond noir, dont le graphisme est modifié.

Prise en main

Quel que soit l'angle sous lequel on la regarde, l' Alfa Romeo Giulia spider apparaît de toute beauté – surtout décapotée – avec son « visage » expressif et ses courbes sensuelles. Le bleu très soutenu de notre voiture d'essai (bleu France ou bleu Pininfarina, suivant les sources) lui va particulièrement bien ; si cette couleur n'a jamais figuré dans le nuancier, elle a pourtant été donnée à cinq ou six modèles d'exposition importés en France à l'époque.

Avec la Giulietta/Giulia, la référence au 7e Art s'impose d'elle-même. Serait-ce le souvenir de films d'époque, comme « Mélodie en sous-sol », « Pierrot le fou », etc. ? Extrêmement séduisant, le spider semble en tout cas parfaitement incarner la « dolce vita » d'après-guerre, impression que vient confirmer son klaxon « Fanfaron », identique à celui de la Lancia Aurelia B 24 de Vittorio Gassman dans le film de Dino Risi…

A l'intérieur, malgré un certain dépouillement, l'ambiance est également très suggestive avec le beau volant en bakélite à trois branches, le levier de vitesses incliné ou les cadrans cerclés de chrome dont les inscriptions sont en italien… Quelques détails comme le rétroviseur intérieur fixé sur le dessus du tableau de bord ou le témoin de phares opaque nous ramènent à une époque très lointaine. Si l'espace intérieur est compté et si l'on est assis très bas, on arrive cependant à trouver à peu près ses aises.

Le contact mis, le moteur ne laisse rien ignorer de sa présence, surtout quand la capote est installée. Compacte et assez légère, l' Alfa Romeo Giulia se révèle agile et maniable ; en utilisation normale, sa tenue de route ne réserve pas de mauvaise surprise. Toutefois, sur revêtement dégradé, le manque de rigidité de la carrosserie se fait nettement sentir. Le comportement de la Giulia apparaît ainsi autrement plus daté que celui du spider qui lui a succédé : si « notre » voiture est de 1965, il ne faut pas oublier que le modèle a été conçu au début de la décennie précédente…

Sur les petites routes, capote baissée, la conduite de la Giulia à un rythme de promenade est un vrai plaisir, d'autant plus que le moteur accepte de bonne grâce les régimes modérés ; En accélérant l'allure, on se rend compte que l' Alfa Romeo Giulia n'est pas qu'un joli cabriolet : les montées en régimes sont instantanées et la poussée se fait nettement sentir (précisons toutefois que notre 1600 normale a été « velocisée »…), dans un environnement sonore très plaisant. Le moteur est bien secondé par l'excellente boîte de vitesses, même s'il faut faire preuve d'un certain doigté pour passer la 1ère. Enfin, pour peu que l'on appuie franchement sur la pédale, le freinage se montre efficace.

Carnet d'adresses

Les clubs

Alfa Classic Club de France

69, av Marx-Dormoy

95200 Sarcelles

Tél : 01 39 90 07 82

[email protected]

Club Alfa Romeo de France

Rue Lepic

75018 Paris

Tél : 01 39 60 16 00

[email protected]

Alfa Club du Sud-Ouest

Le Château

31350 Escanecrabe

[email protected]

Alfa Club des Volcans

Chemin de la Chaux

63 500 Issoire

Tél : 04 73 89 62 02

[email protected]

Les professionnels entretien-réparations-restauration-achat-vente

Espace Century

1 bis, rue d'Athis

91380 Chilly-Mazarin

Tél : 01 64 48 86 66

www.alfaromeo-century.com

Quadrifoglio

23, rue de la Grande-Ceinture

95100 Argenteuil

Tél : 01 30 25 16 00

www.alfa-quadrifoglio.com

Garage Giglio

559, avenue Aristide-Briand

83200 Toulon

Tél : 04 94 89 08 07

Pièces détachées

VHB Diffusion

99, rue de Colombes

92600 Asnières

Tél : 01 40 86 22 44

Alfa Ricambi

2 bis, rue Jacques d'Alsace

68190 Ensisheim

Tél : 03 89 81 19 96

[email protected]

Alfaholics (Royaume-Uni)

Tél : 0044 (0) 1398 351360

www.alfaholics.com

[email protected]

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Cote et budget d'entretien

En très bon état, une Alfa Romeo Giulia spider se négocie environ 25 000 euros.

L'entretien courant suppose une vidange du moteur (avec changement du filtre à huile) tous les 5000 km ou chaque année et un réglage de l'allumage et de la carburation tous les 10 000 km ou une fois par an. La vidange des liquides de refroidissement et de frein s'effectue tous les deux ans ou tous les 40 000 km, celle de la boîte et du pont tous les deux ans ou tous les 20 000 km.

Il faut s'occuper des graisseurs du train avant et de la transmission tous les 10 000 km et ne pas oublier l'huile du boîtier de direction.

Pour ce qui est de la mécanique, la disponibilité des pièces est bonne.

On trouve également de nombreuses pièces spécifiques, notamment l'ensemble des joints, la sellerie, etc. Les prix peuvent être élevés : à titre d'exemple, une poignée complète de malle arrière est facturée 321 euros HT (tarif aimablement communiqué par VHB).

En matière de carrosserie, la disponibilité comme la qualité des pièces varie fortement suivant les fournisseurs ; par ailleurs, les prix peuvent être très élevés.

Compte tenu de leur âge, les spiders Giulia qu'on trouve dans les annonces ont souvent été restaurés ; au moment de l'achat, il faut naturellement privilégier les exemplaires qui disposent d'un dossier de restauration complet avec des photographies.

Note au lecteur : ce guide ayant été publié le 07/07/2006, les prix indiqués pour les pièces et la côte des véhicules risquent de ne plus refléter l'état actuel du marché.

À retenir

Surnommée affectueusement " la signorina " par son créateur, Battista Pinin Farina, la Giulia/Giulietta spider a marqué son époque. Bénéficiant d'une ligne superbe, elle possède un moteur " double arbre " puissant et fiable, une excellente boîte de vitesses à cinq rapports et un freinage à la hauteur. Très séduisante, l' Alfa Romeo Giulia peut aussi convaincre... Pour autant, conçue dans les années 50, elle ne possède pas la polyvalence des spiders de la génération suivante et son utilisation sera forcément plus restreinte. Assez cher, réclamant un temps d'adaptation, le spider Giulia est une voiture de connaisseur. Pour son heureux propriétaire, c'est aussi une source de plaisirs.
points fortsLigne superbe, ambiance, moteur " double arbre " fiable, puissant et mélodieux, excellente boîte de vitesses à cinq rapports, freinage efficace
points faiblesConduite réclamant une certaine accoutumance, pièces parfois chères et de mauvaise qualité, cote assez élevée

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Avis des propriétaires

Commentaires

avatar de mirot03
mirot03 a dit le 15-05-2013 à 15:54
très intéressant
avatar de pascalbat
pascalbat a dit le 08-12-2012 à 13:20
je recherche une adresse pour trouver des cylindres de roues avant ( 3 cylindres par roue )et a quel prix; pour alfa 1600 de 11/62 type 101129 n° serie 374043 n°chassis 457 merci d avance
avatar de fabfour
fabfour a dit le 19-11-2012 à 16:33
bonjour Morito6969, quel est le prix de vente pour votre 1600 Veloce SPider s'il vous plait ?
avatar de Dan3339
Dan3339 a dit le 29-04-2012 à 17:38
@morito6969: quel est le prix de cette voiture?
avatar de robbycat
robbycat a dit le 23-08-2011 à 23:03
recherche alfa romeo giulietta spider année 60